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Pendant très longtemps, le cycle menstruel des femmes a été banalisé, voire utilisé pour moquer les sautes d'humeur que subissaient les femmes. Afin de dissiper le stéréotype, de nombreuses femmes se sont retrouvées désintéressées de connaître leur cycle menstruel. Pourtant, on assiste actuellement à un heureux retour de l’équilibre : les femmes semblent vouloir à nouveau comprendre et apprécier les fluctuations de leur menstruation ainsi que leurs effets sur leur quotidien et leur intimité. Les changements hormonaux ont un impact puissant chez la femme, que vous preniez un moyen de contraception ou non. Le cycle menstruel est généralement divisé en phase folliculaire et phase lutéale, la phase ovulatoire se situant entre les deux.
La maternité est une des plus belles choses de la vie, même si on dit souvent que l’accouchement est le plus douloureux, ce n’est pas vrai pour toutes les femmes. Les contractions utérines, qui aident l'utérus à retrouver sa taille et sa forme initiale en se contractant plus ou moins fortement, commencent généralement peu de temps après l'accouchement. Elles permettent de refermer les vaisseaux de l’utérus qui irriguaient jusque-là le placenta et font sortir les derniers débris et caillots, provoquant des petites hémorragies appelés lochies. Bien qu'elles durent souvent entre quatre et sept jours, elles ne sont pas toujours simples à supporter. Que peut-on faire pour soulager la douleur ?
Un comprimé, une plaquette, un préservatif, stérilet, pilule contraceptive, pilule combinée, pilule du lendemain, pilule progestative, anneau vaginale, il y a plusieurs moyens de contraception différents, une visite chez votre gynécologue est indispensable pour savoir lequel utilisé. Même si ces solutions sont souvent utilisées pour qu’une femme ne tombe pas enceinte lorsqu’elle à des rapports sexuels, il est parfois possible de les prescrire pour réguler le cycle hormonal. Car oui, les moyens de contraceptions ont un impact sur les règles des femmes, mais bien souvent, l’impact est positif !
Le repos reste la première chose à laquelle on pense lorsque nous souffrons. Bien qu’il soit efficace, il nous empêche de continuer à vivre normalement durant cette période difficile pour notre corps de femme.
Les médicaments sont à éviter dans le cas où les règles douloureuses sont supportables. Nous avons d’autres alternatives à vous proposer...
L'endométriose est une maladie inflammatoire chronique de l'appareil génital féminin qui est causée par le développement d'une muqueuse utérine (l'endomètre) à l’extérieur de l'utérus et colonisant d'autres organes. Toutes les femmes en âge de procréer peuvent être atteinte de cette pathologie. Les symptômes varient selon les circonstances ; les plus courantes sont les douleurs lors des règles ou des relations sexuelles. Le diagnostic apparaît souvent tardivement car chaque femme souffrant de règles douloureuses pense qu’il est normal d’avoir mal durant cette période.
Comme pour la puberté ou la grossesse, la ménopause, également connue sous le nom d'âge climatérique, est un processus naturel. Chaque femme vit cette étape de sa vie d'une manière bien particulière et à son rythme. Alors que certaines femmes ne ressentent pratiquement aucun changement, d'autres se plaignent de symptômes désagréables. Ne paniquez pas si vous vous inquiétez des symptômes de la ménopause ; il existe plusieurs façons de les soulager.
Aiguë ou continue, la douleur peut être atroce ou insupportable, nous envoyant peut-être dans le désespoir le plus profond. Ainsi, même un problème mineur amènera le système nerveux à alerter le cerveau, qui traduira immédiatement le signal en message d'alarme et provoquera de la douleur. Cette réaction en chaîne a une efficacité indéniable, mais elle ne nous ménage pas quand ça fait mal. Au contraire, sa seule responsabilité est de nous informer, il n'en reste pas moins vrai que la sensation est désagréable, surtout lorsque le phénomène perdure. Apaiser la douleur devient une priorité absolue. Même si le choix des médicaments est fréquent, certaines circonstances peuvent obliger à réfléchir à un traitement plus approfondi, excluant l'utilisation de produits chimiques et dépourvu d'effets secondaires potentiels. C’est là que l’électrostimulation entre en jeu.
La SPM toucherait 20 à 40 % des femmes fertiles, avec des manifestations d'intensité différentes. Lorsqu'elle est liée à des symptômes similaires à ceux de la dépression majeure (appelée difficulté dysphorique prémenstruelle, ou TDPM), elle perturbe un tiers de leur vie sociale, professionnelle et personnelle et entraîne un réel désavantage dans environ cinq pour cent des cas.